Sur le chemin de la proche aidance, plusieurs personnes ressentent de la culpabilité à un moment ou un autre de leur parcours. Certaines se sentent coupables de ne pas en faire assez, de ne pas avoir fait les bonnes choses, de s’absenter, d’être en santé pendant que leur proche est malade, de manquer de patience, etc. Ce sentiment de culpabilité augmente le risque d’épuisement.
Dans le quatrième épisode de la saison 2 du balado des proches aidants, Marina Orsini discute du sentiment de culpabilité avec ses invitées Marie-Claude Senécal, Louise Deschâtelets et Gabrielle Brind’Amour.
Gabrielle Brind’Amour est la directrice générale de L'Accolade Santé mentale. Elle insiste sur l’importance, pour les proches aidants, d’aller chercher de l’aide, une démarche qui aide à (re)trouver son propre équilibre et à se sentir mieux.
Prendre soin de soi en tant que proche aidant, c’est archi important mais c’est souvent vu comme quelque chose d’égoïste. Cette perception est moins présente qu’avant, mais c’est long de changer une culture collective. - Gabrielle Brind’Amour
Sentiment de culpabilité :
Enfants malades ou handicapés et passage à l’âge adulte :
Déficience intellectuelle :
Santé mentale et proche aidance :
Marie-Claude Senécal
Maman et proche aidante de sa fille Joanie, atteinte de paralysie cérébrale
Louise Deschâtelets
Actrice, animatrice et chroniqueuse. Durant sa vingtaine, elle est devenue proche aidante de sa mère atteinte d’un cancer des poumons.
Gabrielle Brind’Amour
Directrice générale de L'Accolade Santé mentale
Je n’en fais jamais assez!
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